2020-2035 :Les vagues

2020-2025 : les premières vagues d'épidémie

Suite à l'épidémie de SARS-CoV-2, l'économie mondiale est tombée en récession. Fin 2020, une deuxième vague épidémique a forcé de nombreux pays à confiner leur population, une fois encore. Après un hiver excessivement rude dans certaines parties de l'hémisphère Nord, une troisième vague s'est déclarée au début du printemps 2021. Le port du masque est désormais obligatoire dans la plupart des pays et les premiers vaccins commencent à se généraliser, de façon obligatoire la plupart du temps. Fin 2022, la grande récession commence à se dissiper sous les effets des injections de liquidités massives des banques centrales des grandes puissances. Alors que l'été 2023 débute sous de meilleures auspices, la vague épidémique la plus meurtrière de toute l'histoire de l'humanité va déferler sur la planète : Ebola.

La vague Ebola de 2023 débute le 27 juin en Afrique de l'Ouest. Des milliers de cas sont répertoriés en Guinée, au Libéria, en Sierra Leone puis très vite aux Etats-Unis, en Europe et en Asie. Il semble que des humanitaires aient été contaminés et soient rentrés dans leurs pays d'origine pour être traités en urgence. Malgré les précautions sanitaires, les contagions n'ont pu être évitées. Dans le monde hospitalier au départ, puis dans toute la population des premiers pays concernés. Une fois encore, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) semble dépassée, n'informe pas dans les temps les gouvernements qui pour la plupart sont dépassés par l'ampleur de l'épidémie. 30 millions de personnes décèdent dans des conditions atroces en quelques mois. A la fin de l'année 2023 ce sont plus de 800 millions de cas qui sont répertoriés. Ebola tu une personne sur deux, les hôpitaux sont totalement dépassés, l'OMS comptabilise un demi milliard de décès début 2024. L'ONU décide de créer dans l'urgence un organe de contrôle de la pandémie au printemps. Cette institution dont les membres permanentes sont ceux du Conseil de sécurité décide très vite d'organiser un contrôle des populations pour isoler de façon automatisée les personnes contaminées. Les multinationales technologies chinoises et américaines proposent l'implantation d'un dispositif sous-cutané connecté équipé de capteurs biologiques. Le MED-C est approuvé en septembre 2024 : les 7,8 milliards d'être humains de la planète doivent en être équipés, sous peine d'emprisonnement. La campagne d'implantation de la puce électronique doit durer 6 mois. Elle débute en décembre 2024.